Le 6 février prochain, le Salon Bien-être, médecines douces et thalasso ouvrira ses portes Porte de Versailles à Paris. A 14h, Albert-Claude Quemoun y tiendra une conférence sur la dépression, les troubles du sommeil et l’homéopathie. Il nous explique pourquoi il a choisi d’axer son intervention sur ce thème.
Pourquoi avoir choisi de parler de dépression et d’homéopathie ?
La France détient un triste record : celui du pays où l’on consomme le plus de psychotropes au monde. Or ces anxiolytiques, antidépresseurs, neuroleptiques et somnifères ne sont pas dénués d’effets secondaires. Ils entraînent des dépendances, des troubles de la vigilance et de la mémoire, des tremblements, ils accélèrent le déclin cognitif des personnes âgées, etc.
Comment intervient l’homéopathie ?
Elle facilite le sevrage et peut prendre le relais des psychotropes pour aider à la guérison. Dans certains cas, elle permet de s’en passer complètement. Il est conseillé de consulter son médecin homéopathe pour une prescription personnalisée.
En quoi l’approche homéopathique diffère-t-elle de la prise en charge classique ?
L’homéopathie s’intéresse au malade et à son mode réactionnel, c’est-à-dire à la façon dont il exprime ses symptômes. Il n’y a donc pas de traitement standard, mais toujours du sur mesure.
Pouvez-vous nous citer quelques grands médicaments de la dépression en homéopathie ?
On peut distinguer le sujet qui s’isole dans son mutisme et recherche coûte que coûte la solitude (Natrum muriaticum) de la personne qui a absolument besoin de la consolation (Pulsatilla). On peut aussi identifier celle qui camoufle sa déprime derrière une logorrhée excessive (Lachesis) ou encore la personne qui ne fait plus rien par goût mais tout par obligation et par devoir (Sepia). Ce ne sont là que quelques-uns des médicaments possibles. J’en détaillerai d’autres lors de mon intervention du 7 février.
Vous pourrez également retrouver l’auteur sur le stand de l’Institut homéopathique scientifique (Stand C38). Il y dédicacera son ouvrage de référence Ma Bible de l’homéopathie.
Monsieur et cher confrère, âgé de 83 ans ayant pratiqué à Bar le duc je suis bien peine d’apporter une aide à mon petit fils de 16 ans chez qui Natrum muriaticum XM K n’a apporté aucun mieux. Je me permet de joindre les signes transmis par mon fils. En espérant ne pas vous importuner je vous remercie infiniment.
A peine bonjour
Pas au revoir
Sur son lit, avec son iPhone/pad
Casque
Nonchalance +++
Se lève très tôt pour déjeuner seul
Repas du soir rapide, se lève, ramène son plateau/assiette et file dans sa chambre, contrairement à Maël qui reste le maximum avec nous
Préfère marcher 3 km plutôt qu’on l’amène au lycée les jours où on peut
S’intègre pas aux équipes de tennis de Cestas
N’a amené en tout et pour tout que 3 copains à la maison, en deux fois
Bonjour Monsieur et cher confrère
Je propose Natrum muriaticum mais en échelle, comme le faisait Nash:
1ère semaine N.M. 5CH
2ème semaine N.M.7CH
3ème semaine N.M 9CH
4ème semaine N.M. 12CH
5ème semaine N.M 15CH
Cordialement
Albert-Claude Quemoun