Cela va dans le bon sens : depuis 2011, les sages-femmes ont obtenu le droit de prescrire des médicaments et notamment les médicaments homéopathiques. Et depuis 2009, il existe des modules de formation à l’université et dans des écoles privées reconnues par l’Etat qui leur sont spécifiquement dédiés. Ainsi, depuis 5 ans, 1000 sages-femmes se sont formées à cette médecine. « Certes, nous n’avons pas attendu 2011 pour donner des granules aux femmes enceintes, note Maud Boggio, sage-femme formatrice au CEDH (Centre d’enseignement et de développement de l’homéopathie). Mais désormais, les sages-femmes formées peuvent aussi soigner des pathologies qui demandent une approche plus approndie de l’homéopathie, comme l’eczéma, les allergies, les troubles du sommeil, etc. En effet, lors de la grossesse, la plupart des médicaments classiques sont contre-indiqués et l’homéo est alors la seule médecine sans risque que l’on puisse proposer. »
Pour plus d’informations sur l’homéopathie pendant la grossesse, voir aussi nos billets :
- « Je suis triste à l’idée d’arrêter l’allaitement »
- Kate : les conseils d’AC Quemoun pour lui faciliter l’accouchement
- Comment récupérer de la fatigue de l’accouchement.
Sans oublier de consulter Ma Bible de l’homéopathie où tous les remèdes de la femme enceinte, de l’accouchement et du post partum sont décrits en détails.
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